La modernisation nécessaire d'une installation vieillissante
Le Transarc, emblématique remontée mécanique des Arcs, a récemment subi une transformation spectaculaire, répondant à la nécessité de moderniser une installation vieillissante. Ce projet ambitieux a été motivé par le besoin d'améliorer l'expérience des usagers tout en respectant les normes de sécurité et d'efficacité énergétique. Les travaux ont été réalisés en deux étés consécutifs, permettant ainsi de minimiser les perturbations pour les skieurs et les visiteurs. La modernisation a englobé non seulement les lignes de remontée, mais également l'ensemble de l'environnement du Transarc, créant un espace accueillant et fonctionnel.
Les changements apportés incluent un espace d'accueil et de vente repositionné sur le front de neige, facilitant l'accès pour les usagers. Un escalator a été installé pour améliorer l'accès au départ, tandis que la gare intermédiaire a été entièrement reprise. De plus, la surface de garage a été doublée, permettant une meilleure gestion des flux de visiteurs. Ces améliorations visent à offrir une expérience utilisateur optimale, tout en intégrant des éléments esthétiques qui s'harmonisent avec le paysage montagnard.
Un confort et une esthétique repensés pour les usagers
La transformation du Transarc ne se limite pas à des aspects fonctionnels ; elle inclut également une réflexion approfondie sur le confort et l'esthétique. Les nouvelles installations ont été conçues pour offrir un cadre agréable et moderne, avec des matériaux de qualité et des aménagements pensés pour le bien-être des usagers. Les espaces d'attente sont désormais plus spacieux et lumineux, permettant aux visiteurs de profiter de la vue sur les montagnes environnantes tout en attendant leur remontée.
En parallèle, des éléments de design contemporains ont été intégrés, créant une atmosphère chaleureuse et accueillante. Les nouvelles cabines de remontée, plus confortables et spacieuses, sont équipées de sièges ergonomiques et de grandes fenêtres, offrant une vue panoramique sur le domaine skiable. Cette attention portée à l'esthétique et au confort vise à enrichir l'expérience des usagers, les incitant à revenir et à profiter pleinement des plaisirs de la montagne.
Une réduction significative du temps de trajet
Un des aspects les plus remarquables de la transformation du Transarc est la réduction significative du temps de trajet. Grâce à l'optimisation des infrastructures, le temps de montée a été réduit de 20 à 13 minutes, ce qui représente un gain de temps considérable pour les skieurs. De plus, le débit de la remontée a été porté de 2 000 personnes par heure à 3 600, permettant ainsi de mieux gérer l'afflux de visiteurs, notamment pendant les périodes de forte affluence.
Cette amélioration du débit s'accompagne d'une réduction du nombre de pylônes, passant de 35 à 25, ce qui contribue à une meilleure intégration paysagère de l'installation. En outre, la consommation électrique a été optimisée, avec un objectif de réduction de 10 % par passager transporté. Ces avancées témoignent d'un engagement fort en faveur de la durabilité et de l'efficacité énergétique, tout en garantissant une expérience de transport fluide et agréable pour les usagers.
Les actualités récentes
Outre les deux étés de travaux sur les deux lignes de remontée qui s’enchaînent, et en attendant la réalisation d’une terrasse panoramique avec vue à 360° au sommet, l’an prochain, c’est tout l’environnement du Transarc qui a été métamorphosé : espace d’accueil, de conseil et de vente remonté sur le front de neige, escalator facilitant l’accès au départ, gare intermédiaire entièrement reprise, surface de garage doublée… « Arc 1800, c’est le plus gros départ sur le domain
Les gains sont multiples : temps de montée ramené de 20 à 13 minutes, débit porté de 2 000 personnes/heure à 3 600, 25 pylônes au lieu de 35, consommation électrique optimisée (« l’objectif c’est moins 10 % au passager transporté »)… Seul point négatif, et qui fait causer dans la vallée, ces flashs jour et nuit (quatre sur le Transarc et deux sur le sommet de 2 000). « Malgré toutes nos remarques et l’étude d’impact, c’est une obligation de sécurité de l’aviation civ